domingo, 30 de diciembre de 2012
Musiques du monde
Nous commençons avec un set de cinq chansons, la premier au rythme de
flamenco, «Coquinas» à la voix de l´auteur-compositeur espagnole Estrella Morente.
D´après, la chanson «Guelel» du sénégalais, guitariste et compositeur de worldbeat,
Baaba Maal Yela. Au troisième lieu, nous nous amusons «La taberna del buda», du groupe
espagnol du rock pop formé par les frères Manuel, Óscar y Raúl Quijano; Café Quijano.
Au pénultième lieu, pour fermer ce cadre acoustique, les musiciennes et poètes urbaines
Calle 13 avec sa chanson de sorte social «Calma pueblo». Et au dernier lieu, une chanson
qui a été composé á ce qui était «le 11» d´équipe brésilien de «Clubes de Regatas do
Flamenco», après marquer un but stratégique au club Benfica, Filho maravilla, réalisé par
le brésilien Jorge Ben Jor, musicien qui passe entre la samba, le funk, le bossa nova et le
rap.
Cuba, le «continent noir» et sa production musicale splendide ne peut jamais être
absente. Des la republique insulare nous écoutons «Chichi 2010»,
d´orchestre Elio Reve et son Charangón, l'un des groupes musicaux les plus prestigieux à
Cuba et dans le monde. Par la suite, la République de Gambie Dawda Jobarteh entendre le
musicien, l'un des meilleurs interprètes de l'instrument à cordes qui est appelé Kora, une
sorte de harpe et le luth d'Afrique occidentale. Il a entendu le chant des Pholus Karang,
qui appartient à son album Northern Light Gambian Night (2011).
Le Mexicain Jaime Lopez est le créateur de l'une des meilleures chansons et les plus
connues de la bande Café Tacuba, qui ont fait une autre version de la chanson entraînante
du groupe Chilanga Banda. Nous avons entendu la chanson de ce chanteur, qui s´appelle
«Malafacha». Lopez est considéré comme l'un des terrains de roche essentiel aztèque,
mais a également créé la coupe chansons tropicales, éleveur, blues et boléro. Le 16 Août,
1985 a participé au Festival OTI avec la chanson «Blue Demon Blues», l'un des quelques
chansons mexicaines dédiés à ce sport.
Tous les genres musicaux s'insérer dans un tasse en savant l´aménager. Nous ouvrions
ce bloc musical avec la chanson «Pa salí con nada», d´Alex Gomez, l'un des artistes les
plus représentatifs et les multiples facettes scène artistique espagnole. D´après, Songo
Changüí avec l´Américaine Rebeca Mauleon, compositeur, pianiste et auteur de salsa et
de musique afro-antillaise. De Memphis, Tennessee nous gâtons avec un peu d'énergie
avec la chanson «R-E-S-P-E-C-T», la voix de la chanteuse de soul, R & B et le gospel,
Aretha Franklin, surnommée "Lady Soul". Nous suivons avec « El amor de jibarito» , avec
le groupe portoricaine
Ricardo Aguirre, qui était un chanteur, auteur-compositeur, musicien, pédagogue et
communicateur vénézuélien, surnommé "Le Cornemuse Monumental".
Vers la fin de cette émission nous écoutons deux fois au Brésil, d'abord avec la
chanson «Eu te amo» , création des compositeurs et chanteurs Tom Jobim et Chico
Buarque, bien que nous la jouissons dans la voix de l'interprète bossa nova et la samba,
Ana Carolina. Ensuite, «Na baixa do sapateiro» ne avec des guitares jazz et choreras Marco
Pereira et Hamilton de Hollande.
Pour fermer ce programme, le rythme de ska avec le groupe britannique The Specials. Ce
groupe a été formé en 1977 à Coventry, en Angleterre. Au début erré entre ska, punk et
pop, pour finalement fusionner et créer le style connu comme 2 Tone. De leur que nous
entendons la chanson «Ghost Town».
viernes, 21 de diciembre de 2012
World Music
We started with a set of five songs, the
first one represented flamenco rhythm with the song Coquinas, by the voice of the Spanish singer; Estrella Morente. Then we
continued with the song Guelel, by the Senegalese, guitarist and songwriter of worldbeat; Baaba Maal Yela. In
the third position we enjoyed La taberna del buda, by the Spanish rock
band formed by the pop brothers Manuel, Óscar y Raúl Quijano; Café Quijano. In the penultimate position, to finish this acoustic season, we presented the musicians and
urban poets; Calle 13 and their social song, Calma pueblo and finally, we
listened the song that was composed by "a 11" Brazilian team from
" Clubes de Regatas do Flamenco ", after setting a strategic goal against
Benfica club, Filho maravilla, conducted by the
Brazilian Jorge Ben Jor, a musician who plays samba, funk, bossa nova and rap.
Cuba, the called "black continent" and its splendid
musical production can never be absent. From the republic sister island we
heard Chichi 2010, by the choir master Elio Reve and his Charangón, one of the most prestigious
musical groups in Cuba and the world. Subsequently, from the Republic of Gambia,
we listened to the musician Dawda Jobarteh, one of the best performers of a
stringed instrument called Kora, a kind of harp and lute from West Africa. We hear his song Karang Folo, which belongs to his
album Northern Light Gambian Night (2011).
The Mexican Jaime Lopez, creator of one of the best
known songs by the band Café Tacuba, changed back the catchy song Chilanga Banda. We listened his song; Malafacha. Lopez
is considered essential of rock from Aztec land, but also he has created tropical
songs, rancher, blues and bolero. On August 16, 1985 he participated in
the OTI Festival with the song Blue Demon Blues, one of the few
Mexican songs dedicated to this sport.
All musical genres fit into a mug if you know how to accommodate
them. We opened this
musical segment with the song; Pa salí con nada by Alex Gomez, one of
the most representative and multifaceted artists from the Spanish art scene. Then
we presented Songo Changüí by the American Rebeca Mauleon, composer,
pianist and writer of salsa
and Afro-Caribbean music. From Memphis, Tennessee, we pamper us a little with
the energetic song; RESPECT , by the voice of the soul, R & B and gospel
singer; Aretha Franklin, nicknamed "Lady Soul". We continued with El amor del jibarito by the Puerto Rican Trio,
Vegabajeno, and finished with the Venezuelan Bambuco , Ricardo Aguirre, who was a Venezuelan singer,
songwriter, musician, teacher and broadcaster, nicknamed " El Monumental de la Gaita".
Towards the end of this show, we presented Brazil once
again, first with the song Eu te amo, creation of
composers and singers Tom Jobim and Chico Buarque, although we enjoyed it by
the bossa nova and samba interpreter's voice, Ana Carolina. Then we listened to Na baixa do sapateiro by the jazz guitars
and choreras of Marco Pereira and Hamilton de Holanda
We finished this show with ska rhythm by the British band;
The Specials. This group was formed in 1977 in Coventry, England. At the beginning they
wandered between ska, punk and pop, to finally put them together and create the
style known as 2 Tone. From them, we
heard the song Ghost Town.
jueves, 13 de diciembre de 2012
World Music
We begin this
transmission with the piece Maghreb cosmos by the Spanish multiethnic band Sinouj, which is led by the
saxophonist Pablo Hernandez. We immediately played the song Bagh mein kali Khili performances by the voice of singer Asha Boshle,
recognized as the voice of many soundtracks performed in Bollywood films, she
has participated in more than 950 films since 1943.
From the U.S., we
witnessed the American musical genre, which is their version of our northern songs;
we are talking about the country gender of John Hurt, better known as
Mississippi. From America to Europe with the French electro pop duo Stereo
Total and its creation; Everybody in the
discotheque.
From the land of
Bob Marley, we listen A sunny dub, by the musician and leader of Tubby's Hometown Hi-Fi
at the time; King Tubby, Jamaican electronics and sound engineer known for his
influence on the development of dub music in the decades of 1960 and 1970. Tubby
was murdered on February 6th, 1989 outside his home in Duhaney Park, when he
came home from his studio in Waterhouse.
Drums, with
oruendos from Jamaican, the drummers Ginger Baker and Tony Allen, as part of
the album Live! recorded in 1971 by
Fela Kuti. After that we enjoyed Oumou
Sangare, Malian singer and songwriter of the genus Wassoulou.
We finish this show
with the interpretation of Bowery mood, the Rumani Vladimir Cosma, a Romanian composer,
violinist, pianist and conductor. Chuva
interpreted by the voice of the most popular fado singer from Portugal; Mariza. Knot of place and
time by Jan Garbarek, a Norwegian jazz
musician, flutist, tenor saxophonist and soprano, and Latin Latón by the king of the anarcocumbia; Chico Che.
martes, 11 de diciembre de 2012
Musique du monde
Nous
commençons la transmission avec la pièce musical «Maghreb cosmos» du groupe espagnol Sinouj, qui est dirige
par le saxophoniste Pablo Hernández. Toute suite une chanson de l´Inde, «Bagh mein kali
khili» à
la voix de la chanteuse Asha Boshle, reconnue pour être la voix de
nombreuses play-backs que sont fait en films de Bollywood; elle a participé en
plus de 950 films depuis l´année de 1943.
Dès États-Unis, un genre
musical que se ressemble a notre chansons norteñas, nous parlons du genre
country de John Hurt, mieux connu comme Mississippi. Dès
l´Amérique a l´Europe avec le duo française d´electropop Stereo Total avec sa création «Everybody in the discotheque.»
Dès la terre de Bob Marley nous
avons écoute «A sunny dub», avec le
musicien el leader à l´époque de Tubby's Hometown Hi-Fi, King Tubby, ingénieur électronique
et de son jamaïcain connu pour s´influence dans le développement de la musique
dub pendant les années de 1960 et 1970. Tubby a été assassiné par balles le 6
février de 1989, dehors sa maison de Duhaney Park, quand il retournait chez-lui
de son studio en Waterhouse.
«Drums», avec les oruendos de Jamaïque, les batteurs Ginger Baker et
Tony Allen, partie du disque Live!, album enregistré en 1971 par Fela Kuti.
Après, la chanteuse el compositeur du genre wassoulou, Oumou Sangare.
Nous finissons ce programme avec l´interprétation
de «Bowery mood», de Vladimir Cosma, compositeur, violoniste, pianiste
et chef d´orchestre roumain. «Chuva», à la voix du mieux populaire chanteuse de
fados de Portugal, Mariza. «Knot of place and time», avec Jan Garbarek,
musicien norvégien de jazz, flûtiste, saxophoniste tenor et soprano. Et pour
finir, «Latin latón» avec le roi de l´anarcocumbia, Chico Che.
Ginger Baker
Musique du monde
Nous
commençons très enthousiastes et très énergétiques avec le nigérian Femi Kuti. Fils
du populaire multi-instrumentiste aussi nigérian Fela Kuti, le roi de genre
afrobeat, combinaison de musique yoruba, jazz, highlife et funk, et
popularisait a l´Afrique dans les années 70. Fela Kuti est le Créateur du terme
Afrobeat, de lequel a formé son structure musical et contexte politique. Sa
chanson «Zombie» est dans la liste
des 100 meilleures chansons du magazine Times.
En suivant la thématique africaine, exactement dès la Jamaïque, nous
avons écouté un des musiciens de légendaire Bob Marley, Peter Tosh. Dès Cuba à
New York avec les rois de la salsa Tito Puente et
Eddie Palmieri. Nous quittons La grosse pomme pour Cuba, pour écouter e
chanteur Pío Leyva, auteur de la guaracha «El
mentiroso». Leyva a fait partie de Buena Vista Social Club. Nous ne pouvons
pas quitter ´île sans écouter une de ses trésors musicaux, le roi du
mambo : Dámaso Pérez Prado.
Jonh Hurt, Big Mama Thornton y Buddy Guy ont en
commun que sont musiciens de blues. Les «Leftover Cuties» ne sont pas blues,
mais les américaines nommés avant; les «Cuities» interprètent les genres jazz,
swing et rockabilly.
Ce set c´est européen. Dès la Russie nous avons écouté a Bulanova, un
groupe avec un répertoire musical de Mexique, l´Amérique latine et de nombreuses
parties du monde. Musique flamenco de «La Vampiro»
et e guitariste «Serratore». Le jazz et acid jazz de Vinicio Capossela et le
musicien Nicola Conte ont apporté le goût italien à ce bouquet musical.
Pour le dernier bloc musical nous avons eu musique du «Continent noir»,
musique hispano-américaine, musique espagnole avec Fito et les Fitipaldis avec
la chanson «Por la boca vive el pez». Enfin,
dès Israël nous avons écouté a Aza et dès Pérou, Eva Ayllon avec la chanson «El puente de los suspiros».
lunes, 10 de diciembre de 2012
Musique du Monde
Toutes les latitudes, tous les coins de la musique. Le folk irlandais avec le groupe The
Dubliners. Rock latine avec groupe espagnol Café Quijano. Le folklore afro-péruvienne,
avec la voix de Nicomedes Santa Cruz. Rythmes du Maghreb arabe Afrique de l'Ouest et
combiné avec une vision moderne de jazz et de funk, dans des instruments Sinouj.Fusion
multiethnique avec Ketama, Toumani Diabaté et Danny Thompson. Flamenco, jazz et
world music avec le risqué Radio Tarifa. Blues malinense avec le chanteur et multi-
instrumentiste Ali Farka Touré. Violons hongrois avec Robby Lakatos. Calypso, zydeco,
avec des touches de musique hawaïenne dans la voix du Taj Mahal, un musicien new-
yorkais qui joue une chanson dédié à Mexicali, "Señor Blues". Du Mambo cubain avec
Perez Prado. Du rock anglais avec de musique hindoue, avec The Beatles et Ravi Shankar.
Et enfin Mário Laginha, pianiste portugaise et compositeur de jazz.
Tous ces musiciens ont organisé un chapitre de «musiques du monde», mais la cerise sur le
gâteau réel était Toño Quirazco, l'un des musiciens ska premiers en Amérique latine. Cette
Veracruz appartient à la «première vague» d'artistes de ce genre précurseur de rocksteady
et arrosé dans les années 1970.Toño Quirazco avec le Venezuela groupe musical Los
Hermanos O'Brien fondée comme "Les Quatre Coins" qu'à la fin de 1968 classiques ska
versionaron en castillan, avec des réalisations assez médiocres.
Que savons-nous Quirazco Antonio Lopez?
Il est né le 22 Avril, 1935 et décédé le 25 Octobre 2008 dans la même ville, Jalapa,
Veracruz. Manifesté leur intérêt pour la musique depuis ses années d'études, il a décidé de
former son groupe et tenter sa chance dans la ville de Mexico. Quatre semestres d'études
de médecine à l'UNAM, mais après un accident retourne à Jalapa, où il fait une mécanique
de sprint. Quirazco est le seul Mexicain des années soixante avec intégrité deux LP de Ska
et plusieurs singles dans le même rythme. Sa façon caractéristique de l'interprétation ska
mettant en évidence l'utilisation de la guitare hawaïenne ne doivent grande renommée dans
les années 60, ce, après avoir visité la Jamaïque en 1965 où plein d'influences musicales
jamaïcaines. Parmi ses succès sont les suivants: Jamaica Ska Ska Ska hawaïenne et de
Mérida.Il a ensuite eu une autre que Xalapa Ska Ska Ska Monterrey et Chihuahua
domingo, 9 de diciembre de 2012
World Music
All
latitudes, every musical corner. Irish Folk by The Dubliners. Latin Rock by the Spanish Café Quijano. Afro-Peruvian folklore by the voice of Nicomedes
Santa Cruz. Arab Maghreb and
West Africa rhythms combined with a modern vision of jazz and funk, by Sinouj
instruments. Fusion multiethnic by Ketama, Toumani Diabate and Danny Thompson.
Flamenco, jazz and world music by the risky
Radio Tarifa. Malian Blues by the
singer and multi-instrumentalist, Ali Farka Touré. Hungarian violins by Robby Lakatos. Calypso, zydeco, with a bit of Hawaiian music by
the voice of Taj Mahal, musician from New York who interprets a song dedicated
to Mexicali, Señor Blues. Cuban Mambo by Perez Prado. English Rock and Hindu music by The Beatles and Ravi
Shankar. And to finish; Mário Laginha,
a Portuguese pianist and composer of jazz.
All
these musicians stared in a chapter of World Music, but the best part was Toño
Quirazco, one of the first ska musicians in Latin America. This man from Veracruz belongs to the "first
wave" of performers of this genre precursor to rocksteady and reggae in
the 1970s.Toño Quirazco along the Venezuelan musical group Los Hermanos O'Brien
founded as "Las Cuatro Monedas" that in late 1968 made covers of ska
classics in Spanish, with rather mediocre achievements.
What
do we know about Quirazco Antonio López?
He
was born on April 22th, 1935 and died on October 25th, 2008 in the same city,
Jalapa, Veracruz. Showing an interest
in music since his school years, he decided to form his band and try his luck
in Mexico City. He studies medicine during four semesters at UNAM, but after an accident he
returned to Jalapa, where he makes a short mechanic career. Quirazco is the only Mexican from the sixties with
two trustworthy LP's of Ska and
several singles in the same rhythm. His
characteristic way of interpreting ska highlighting the use of the Hawaiian
guitar gave him a great fame in the 60's, this, after visiting Jamaica in 1965
where he learned from all the Jamaican music influences. Among his successes they are: Jamaica Ska, Hawaiian
Ska and Merida Ska. He then had some others as Xalapa Ska,
Monterrey Ska and Chihuahua ska.
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