miércoles, 3 de octubre de 2012

La musique du monde. 21 septembre.

Traduit par: Yarzeth Ayala Amador- Cristina Ruiz Holguín

À la demi-journée, nous avons commencé avec le groupe Leftover Curties du jazz, swing et  rockabilly originaire de Los Angeles. Ensuite, nous avons continué avec « Roe por la escalera » du groupe espagnol : Chambao. Sa musique, se dénomme : Flamenco Chill, laquelle consiste en un mélange de la musique flamenco et électronique. Pourtant, Chambao est un mot malaguène que se réfère à un espace fait avec simplicité,  avec un plafond fait des feuilles de palmier, de roseau et de bois ; il fonctionne comme un refuge où le cuisinier du poisson protège sa peau du soleil et du vent et ainsi pouvoir cuisiner des sardines.

 De Málaga, Espagne nous sommes allés à Monterrey et nous avons écouté au compositeur, chanteur et roi de l’accordéon : Celso Piña et son chanson  « El Tren ». De Monterrey nous avons volé à Paris et nous avons écouté la chanson « Budha Bar III » du groupe français Gotan Project, un groupe du tango et du jazz électronique, intégré par le DJ français Philippe Cohen Solal, le musicien suisse Christoph H. Müller et le guitariste argentin Eduardo Makaroff. Le nom du trio provient d’un jeu de mots très commun dans l’espagnol de Río de la Plata appelé Vesre, il consiste en inverser l’ordre des syllabes dans un mot. Ainsi, le mot « tango » se change à « gotan ».

Dans le tour musicale nº10,  nous avons eu à Amparanoia, ça c’est le pseudonyme de la chanteuse et guitariste espagnole : Amparo Sánchez,  qui a combiné sa prénom avec le mot paranoïa. Sa musique est définie par les critiques comme : cubaine acoustique et reggae. Amparanoia a collaboré avec le français Manu Chao. Ensuite, dans le tour musicale nº11, nous avons écouté la chanson « Soleil d’Egypte » de la chanteuse belge qui est née en 1964 : Natasha Atlas. Sa musique est un mixage de musique du Moyen-Orient, musique traditionnelle d’Afrique du Nord avec des rythmes électroniques européens. Née d’un père d’origine égyptien-juif et d’une mère anglaise.  Dans son premier album solo « Diáspora » de 1995, elle a collaboré avec le chanteur  tunisien Walid Rouissi et le compositeur égyptien Essam Rashad.

 Toujours, à mi-temps nous souhaitons danser le rythme du ska, seulement pour nous nous détendons. Après, nous avons écouté la chanson « Garden of Love » du groupe jamaïcain The Skatalites, qui sont connus pour être les pionniers du ska. Dans le même rythme il y a la chanson « Don’t Like » de la chanteuse française Anouk, qui a participé dans des divers albums du group de Manu Chao : Mano Negre ; elle a participé dans les albums Patchanka, Puta’s Fever, King of Bongo et Casa Babylon. C’est important remarquer sa participation dans la chanson « Pas assez de toi » et avec Manu Chao en participant, de manière saillante, dans les chœurs de la chanson « Je ne t’aime plus » de l’album Clandestino de 1998.

Nous avons changé les rythmes des congas et des saxophones pour contempler la chanson «Love will tear us apart» du groupe post-punk anglais Joy Division. La parole a été écrite par le chanteur du groupe Ian Curtis, qui est suicidé à l'âge de 23 ans le mai de 1980.
Nous nous sommes oubliés de la musique anglaise en écoutant au maitre de Veracruz  Andrés Vega Delfín avec le son jarocho «El Trompito»  une chanson que le plait beaucoup a Godo, le conducteur du programme. Également, nous avons écouté à Juan Cicerol, un musicien national avec le cover de la chanson de Joan Sebastián «Sentimental». Cicerol est nommé par quelques personnes comme le  prophète de cristal, sa musique varie des Chalino Sánchez à Johnny Cash, des la musique norteña à le punk ranchero.
«Floricanto» de Lhasa de Sela, chanteuse Mexicaine-Américaine, qui chantait en trois langues, espagnol, anglais et français, elle a été caractérisée par combiner la musique traditionnelle mexicaine avec le klezmer et le rock. Dans le même ténor mexicaine, mais cette fois avec le  mariachi nous avons écouté  «Te solté la rienda» de Lola Beltrán également appelée Lola la Grande, qui a été née à Sinaloa. Par ailleurs,  Pedro Infante avec la supportable chanson «Que suerte la mía». Ensuite, musique tarasca, à base d´harpe.

Postérieurement, la chanson «Women is the nigger on the world» de John Lennon. Finalement, «Bándola llanera» un merengue vénézuélien de Gerson García. Pour finir définitivement le programme d´au jour d´hui, nous disons adieu avec la chanson de rythme de Jazz afro-cubain «Tinguiti ta durmiendo» du groupe Los Ferry.

No hay comentarios:

Publicar un comentario