martes, 16 de octubre de 2012

La musique du monde. Septembre 28.


C’est un vendredi de fête, et surtout, un vendredi de festival musical, c’est comme Godo, le
capitaine musical de cet voyage, aime penser sur cette programme. Nous commençons les
hostilités avec la chanson « Festival » du groupe islandais Sigur Róssigur Rós, qui signifie : la Rose
de la Victoire. Ces islandaises ont un son dur de post-rock, lequel mélange des éléments du
shoegazing et du minimalisme. Le groupe est connu par son style éthéré et par la voix de fausset
de son chanteur Jón Þór Birgisson.

Un des hymnes nationaux plus connus est La Marseillaise, composé en 1792 par le militer Rouget
Lisle. À cette occasion, nous avons eu l’opportunité de l’écouter à la voix d’une des chanteuses
plus célèbres du siècle XX : Édith Piaff, laquelle est connue pour plusieurs des chansons françaises,
par exemple : La vie en rose, Hymne à l’amour, Mon Légionnaire et La foule, des chansons
connues pour tout le monde.

La musique du monde, ce le nom de cette programme et parce que c’est un programme du
monde, nous voyageons d’une latitude à l’autre. Après la France, nous sommes allés au Venezuela
et nous avons écouté la chanson « Bulerillo » de Huáscar Barradas, le créateur du nouveau style
vénézuélien, qui s’appelle : Neo-folklore. Aussi du Venezuela, bien que avec d’autres nuances,
nous avons écouté « Supermercado » du compositeur, pianiste, arrangeur et chef d’orchestre
vénézuélien : Aldemaro Romero. Cette mélodie est faite avec des sons quotidiens que nous
écoutons et des mots que nous disons quand nous allons au supermarché. Enfin, de l’Amérique
Latine, nous sommes allés á l’Espagne avec Pedro Amorim et se pièce musicale « Violão Tenor »
interprété avec une guitare déjà presque en désuétude, la guitare ténor.

Presque au milieu du programme nous avons écouté le groupe Quetzal, une fanfare bilingue du
rock chicano de l´Est de Los Angeles, Californie, qui a été crée pour la guitariste Quetzal Flores.
Ensuite, le huapango «Yo como muchos me fui» de Guillermo Velásquez y Los Leones de la sierra
de Xichu. Après, «La paloma» de Juan Arvizu, chanteur mexicain appelé El tenor de la voz de seda.
Tout en poursuivant avec la musique mexicaine, Lila Downs a interprété la chanson «Mezcalito»,
qui fait partie de son nouveau album Pecados y milagros.

Dans l´avant-dernier bloc nous avons eu la chanson «Tawargit» de l´interprète du pop Yéménite
Ofra Haza. De l´Afrique, Prince Diabaté, qui vienne d´une famille proéminente de Mali Guinée,
située dans l´Afrique Occidentale. En plus, nous nous sommes amusé avec Sanseverino, musique
fusion crée an France que´abord le swing.

Au dernier bloc, que nous a fait danser, nous avons eu «la Cumbia Sampuesana» de José Joaquín
Betín Martínez de la Colombie. Postérieurement, «La Guacamaya» de la chanteuse et harpiste
mexicaine interprète de sones Jarochos, La negra Silva. Puis, en retournant avec la musique
espagnole mais cette fois avec la chanson de l´interprète et poète Joaquín Sabina «Noches de
boda», de l’album La Chamana, qu’a été adressé à Chavela Vargas.

Finalement, en peu de musique ranchera, le son jarocho «Que voy a hacer» de Alonso Borja. Puis,
une fois de plus musique colombienne, cette partie avec la chanson «Virgen de la candelaria»

interprété par les sud-américains Andrés Landero et son groupe Vallenato Social Club. Pour finir,
nous avons écouté une chanson adressée à un des beaux ports du pays, je parle de «Mazatlán», le
nom de la chanson de Mike Laure.

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